[Les Rencontres d’UPCité] Treize minutes
Les Rencontres d’UPCité se poursuivent avec un 13 minutes ! Déclinées en trois formats (Arts et Sciences, Ciné-débat et 13 minutes), ces rencontres sont consacrées à la réflexion sur les grands défis contemporains à destination du grand public.
De la perception à l’action : la signalisation électrique chez les plantes
Avez-vous déjà imaginé ce qu’il se passe dans une plante quand on la touche ? Quand une chenille vient lui croquer une feuille ? Car oui, les plantes sont loin d’être passives face à leur environnement. De la perception à l’action, un message circule dans ces organismes sensibles, un signal commun au vivant : le signal électrique. De la genèse de ce signal dans les cellules de l’entièreté du vivant, à son utilité vitale en passant par l’historique de sa découverte chez les plantes, vous allez découvrir à quel point sans ce signal électrique… les plantes ne seraient pas ce qu’elles sont.
Delphine Bonnin est ingénieure en biologie végétale et Lucia Sylvain-Bonfanti est doctorante en biologie et géographie au laboratoire Restez pas planté là ! pour diffuser les connaissances scientifiques sur les plantes.
à l’Université Paris Cité. Elles ont crée le podcastLes pirates : de la légende à la réalité historique
Un marin peu commode doté d’un cache-œil, d’une jambe de bois et d’un crochet, portant un perroquet sur l’épaule et un tricorne sur la tête souvent orné d’un crâne, buvant du rhum et cherchant son trésor enterré sur une île déserte dont l’emplacement est indiqué sur une carte mystérieuse. Dix clichés autour du pirate et pourtant, ils sont tous faux ! En 13 Minutes, partez à la découverte des idées reçues autour des pirates, en replaçant l’image populaire dans la réalité historique des XVIIe-XVIIIe siècles, avec l’éclairage des récentes découvertes archéologiques, des objets aux épaves et repaires insulaires.
Jean Soulat est archéologue, expert des pirates, au Laboratoire LandArc et chercheur associé au CNRS à l’Université de Caen et l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
L’histoire au fond des poches
Aux XVIIIe et XIXe siècles, les femmes n’ont pas de poches intégrées à leurs vêtements comme nous les connaissons aujourd’hui mais des poches détachables qu’elles nouent autour de leur taille et auxquelles elles accèdent par des fentes sur le côté de leurs robes. Les poches peuvent sembler un sujet anecdotique pour l’histoire. Pourtant, plonger dans le secret des poches féminines permet de s’interroger sur le rapport des femmes du passé à la mobilité, à la consommation, à la possession ou bien à l’intimité à une époque où ces poches sont parfois l’un des rares espaces dont les femmes contrôlent l’accès. Appréhender l’histoire des femmes à travers leurs poches c’est explorer la vie des femmes autrement en même temps qu’interroger notre façon de faire de l’histoire.
Ariane Fennetaux est historienne spécialisée dans l’histoire du vêtement, des pratiques vestimentaires et de la culture matérielle en particulier au XVIIIe siècle au laboratoire PRISMES à Sorbonne Nouvelle Université.
La résilience, une prise pas comme les autres
C’est une histoire de conte de fée. C’est l’histoire d’un gamin confié à la DDAS dès l’âge de 3 mois puis en famille d’accueil puis en foyer. Il aurait pu mal tourner, en vouloir à la terre entière ou sombrer dans la dépression. Mais ce gamin saisira chaque opportunité pour se construire et grandir. Ce gamin c’est David Larose numéro 1 mondial de judo en 2013, double médaillé européen (2013 & 2014), double vainqueur du Grand Slam de Paris (2012 & 2013), et sélectionné aux Jeux Olympiques de Londres en 2012.
David Larose s’est
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